OPTION 1/ COURS en groupe pour débutants ou non: Dans une ambiance conviviale au centre ville de Sète. -Dessin d’observation ou autre: Chaque Mercredi: Séance de 16h à 18h au Café Restaurant l’Olivier; 1 Quai Aspirant Herber, 34200 Sète Tarif de la séance: 5 Euros, un supplément de 1 Euro est demandé si vous voulez venir les mains vides, je fournirai le matériel, crayons, plumes, encres, gouaches, pinceaux, feuilles…
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OPTION 2/ COURS PARTICULIERS de dessin pour adultes, enfants, étudiants, débutants ou non à Sète:
-Dessin d’observation et beaucoup de techniques à étudier inclus initiation poterie et aussi selon votre demande. Je me déplace à votre domicile ou alors vous vous déplacez.
Tarif de la séance de 2 heures: 24 Euros, matériel inclus.
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OPTION 3/ POUR LES COLLECTIVITES: Animarions artistiques pour les enfants ou adultes dans les écoles ou centres culturels à Sète et Montpellier -Dessin, peinture, modelage, éveil aux techniques artistiques en s’amusant. 16 Euros par heure à raison de 2 heures minimum.
Mahine – Graine de lune – Artiste peintre – plasticienne
Je suis Mahine, l’artiste plasticienne et peintre de Graine de Lune, à Montpellier, dans l’Hérault.
Mes peintures sont le résultat d’évasion à travers la psyché et le cosmos en comprenant que nous ne sommes qu’un. Mon idée est de créer des œuvres positives, pleines de lumière, de couleurs vives et de poésie. Ma peinture illustre mes divagations peuplées de créatures imaginaires. Un univers autour de la nature et des éléments, un monde ou coexiste ensemble végétal, aquatique, minéral, animal riche en complexité et naïveté tout à la fois.
Cette synthèse de toutes formes de vie me vient aussi de mes inspirations, de mon amour pour l’art et pensées Aborigène “la dreamtime”, des formes primitives et des arts premiers.
Mes toiles parlent de fractales, d’énergie quint-essentielle présente en chaque organisme vivant, de transition de vie et d’interconnexion.
Luna Paese | ASSOCIATION DEEPCUTS– artiste interdisciplinaire, performeuse, chorégraphe, praticienne shiatsu
Après ses études en piano classique au Conservatoire, elle se forme à la danse classique et contemporaine. Elle est diplômée en nouveau cirque auprès de l’Académie Alessandra Galante Garrone de Bologne, achève une licence en psychologie à l’Université la Sapienza, Rome et un master 2 en danse auprès de l’Université Paris 8. Elle intègre la formation chorégraphique Transforme dirigée par Myriam Gourfink en 2009/2010 et 2011/2012.
Elle collabore avec Margot Dorléans, Alexandre Da Silva, Thibaud Le Maguer, Daniele Albanese, Claire Filmon pour la reprise des pièces de Simone Forti, Compagnie Altroteatro entre autres. Son travail artistique a été présenté en Italie, France, Suisse, Etats Unis ; elle a été boursière du ministère de la culture et du sport de l’Etat de Genève en 2014. Elle a travaillé en EHPAD en tant qu’animatrice d’ateliers de mouvement pour personnes âgées.
Actuellement elle fait partie de la chorale féministe dirigée par Gérald Kurdian et collabore avec le chorégraphe Joao Costa Espinho. Elle travaille également à la diffusion de sa dernière pièce, « Ceci n’est pas un concert d’amour ».
Dans son travail, Luna Paese relie la vie privée et les phénomènes physiques et psychiques individuels et l’observation des problématiques structurelles sociales et politiques dans le monde.
Marie Saurat – Danseuse – plasticienne – performer
La danse comme philosopher en mouvement
Marie Saurat, artiste polyvalente depuis 20 ans, est partie du dessin, de l’image pour arriver au geste. Elle travaille à la forme donnée par le corps, la lettre, l’intime, le geste quotidien, l’infiniment banal, dans l’espace. Arts plastiques, écriture poétique, paysage, danse et chorégraphie sont toutes les cordes à son arc.
Elle est passionnée du corps, d’approches dansées et performées, à la frontière entre territoires du design espace, de l’urbanisme et de la danse. La physiologie fonctionnelle et des mystères de l’anatomie, constituent une base à l’imaginaire et à la spiritualité de l’être. Elle allie la sagesse orientale diffusée dans le yoga, le kung-fu et les approches somatiques pour ouvrir des horizons, des poésies, des nouveaux paradigmes esthétiques. Ceci est possible après avoir suivi 25 ans d’enseignement auprès de professeurs de yoga, de danse et et de grands sages de par le monde aux USA, en Inde, au Laos….
Elle propose des créations sensibles et subtiles par la conscience du corps, de ses liens, le relâchement et le mouvement. Par la pratique et l’entrainement, le corps se lie aux autres danseurs, aux espaces, engrange des expériences uniques qui forgent la matière dansée à l’intérieur des cellules mêmes du corps. Cette approche permet des créations comme Cantique Errance qui peut être redonné plusieurs fois, dans différents lieux, avec une part construite et une part d’improvisation omniprésente. Pièce à partir du Cantique des cantiques à 3 danseurs, souffleurs, chanteurs.
Cette approche est aussi un moyen de faire des performances improvisées dans n’importe quel type de lieu, de contexte, avec des amateurs, en grand groupe, en solo, en duo. Une adaptabilité et une souplesse des formes comme moyen de fonctionner. Elle réunis et collabore à Strasbourg autour de projets collectifs, le Bernard L’Hermite avec Véronique Moser, Benoît Decque, Le concours du jardin des deux rives à Strasbourg avec Agnès Daval, paysagiste, en danse avec Francesca Lattuada.
Arrivée à Montpellier, la performance l’amène à la danse elle collabore avec danseur-chanteur, comme Bernal Sabah, musicien, Samir Tahar, Grégoire Deslandes, danseurs, Hervé Frein et Agnès Boudon, plasticien, Agnès Rosse, sur des projets en co-création.
Elle arrive à la performance, et aux actions, avec le cancer qu’elle combat en 2009 par la peinture et la danse. Cela lui donne une puissance narrative et une présence, une urgence, même, unique à sa danse. Elle créé la compagnie Arte Vivi en 2015 et va rencontrer Anna Halprin aux USA, qui a combattu deux cancers et a mis au point une méthode de guérison du cancer.
Mais aussi,
Marie s’initie aux performances collectives et à la guérison des autres. C’est de l’art, c’est de l’acte social, c’est de la reliance, c’est une intention commune formulée, un peu tout ça à la fois.
Marie mène des ateliers, les Mouvement Conscients et Improvisation MCI.
Elle propose aussi de partager cette guérison physique, sociale, spatiale par des partitions à réaliser collectivement : ENVOL, soit Exploration Nature Volontaire Ouvroir de Libertés. C’est aussi un moyen puissant de reprogrammer les axes de sa vie par des actes conscients et des intentions claires et actés.
Une rencontre avec une couturière en 2012 me propose du tissu, je tombe sous le charme de cette matière, je me mets à réaliser des tableaux, j’assemble, je couds, je déchire, je froisse, je plie, je tisse, je brode. Je dessine avec l’aiguille de la machine à coudre que je laisse filer. La couture à la machine à coudre donne une énergie, un mouvement, un rythme. J’aime le travail instinctif, poétique, mais néanmoins qui a du sens. Je joue avec l’aiguille, comme avec les mots, texte-textile, écriture-broderie, aiguille-crayon… Depuis, j’utilise le tissu pour mes créations artistiques; je me suis rapidement rendue compte que cette matière offrait de multiples possibilités. Matières que je glane, détourne, recycle et sublime et que je n’hésite pas à marier aux papiers.
CE QUI CARACTÉRISE MON TRAVAIL :
Poétique et narratif, ouvrage de dames, engagé, féminin, viscérale, émotion, généalogique, transmission, hérédité, mémoire.
COMMENT JE TRAVAILLE :
La matière qui me guide, je travaille comme si je modelais, je sculptais, je couds , je chiffonne je brode, je déchire, je raccommode, je rapièce, je tisse, je grave, j’écris à l’aiguille. J’utilise des vêtements ou photographies qui sont en lien avec mon travail. Le texte et le textile sont si proche, comme le papier avec les chiffons, l’écriture avec la broderie, la littérature avec le théâtre.
QUELS SONT LES OUTILS, MATÉRIAUX ET TECHNIQUES QUE JE PRÉFÈRE :
Le médium textile est mon outil de prédilection, je récupère des étoffes, comme le lin, le coton, la soie, je leur donne une seconde vie. J’ai l’art de les accommoder, l’art de les sublimer. J’aime aussi assembler les papiers avec les tissus, détourner les vêtements, recycler.
Je découvre depuis 2018 la gravure.
A QUOI RESSEMBLE MON ESPACE DE TRAVAIL :
Mon atelier se situe chez moi à Sète, c’est une petite pièce lumineuse avec une double porte fenêtre donnant sur l’extérieur.
QUELS SONT LES ARTISTES ET LES MOUVEMENTS QUI M’INSPIRE :
« Il me faut un point de départ, ne serait-ce qu’un grain de poussière ou un éclat de lumière. Cette forme me procure une série de choses, une chose faisant naître une autre chose. Ainsi un bout de fil peut-il me déclencher un monde, je travaille comme un jardinier comme un vigneron les choses viennent lentement » Joan Miro.
Après avoir été diplômé de l’école Saint-Luc Tournai en 2011, j’ai vécu 4 ans en Argentine. En parallèle à mon travail de peintre, je travaille en tant qu’illustrateur. Mon travail a notamment été publié dans Die Zeit, Biscoto, Article 11, Illustration Next, Clark magazine et je collabore régulièrement avec des structures comme les Cahiers de l’Articho. En tant qu’artiste, j’ai pu exposer en Argentine (Arteba), Brésil (galeria logo), France (P38), Belgique, Hongrie, ou encore Allemagne (slowboy Gallery).
Mon travail artistique est une synthèse entre arts naïfs, art brut, et simplification des formes. J’essaye de réduire mon langage formel et de faire à chaque fois plus simple avec moins d’éléments. Certains diront que certaines de mes illustrations leur rappellent les vieux jeux vidéos, mais les vieux jeux vidéos me rappellent les tapisseries. J´ai toujours été fasciné par comment dire beaucoup avec si peu. Alors j´essaye de faire la même chose en image. Ça ressemble à un pixel mais c´est imparfait et humain. J’aime toucher à tous les supports (de la peinture à la céramique en passant par le bois ou la lithographie) mais également toutes les échelles (de la conception d’un sticker à la réalisation d’un grand mur).
Une autre partie de mon travail et quant à elle plus focalisée sur la lettre et la typographie (de préférence funky et rétro). Egalement graphiste, je réalise régulièrement poster, pochette de vinyle ou encore logo.
La décoration d’intérieur est un aspect essentiel de votre bien-être au quotidien. Que vous soyez particuliers ou professionnels, je conçois des espaces fonctionnels et esthétiques qui reflètent votre personnalité tout en apportant ma touche personnelle. Je vous accompagne de la conception à la réalisation. J’affectionne tout particulièrement l’univers industriel à travers ses matériaux humbles tel que le bois, le métal, le béton et la brique. Chiner, transformer, recycler est une démarche dans laquelle je m’inscris en transformant des conteneurs maritimes en surface d’habitation ou de travail. Les possibilités sont nombreuses que ce soit pour des besoins privés ou professionnels.
Je suis également sculpteur et travaille essentiellement la terre avec pour thématique la femme sous toutes les formes.
Né à Bordeaux en 1977, Antoine Dubruel se détourne de sa carrière juridique et entame des études d’art à l’université ainsi qu’aux Beaux-arts de Toulouse afin de concrétiser son choix radical : peindre. Antoine Dubruel vit désormais à Sète depuis 5 ans, touché par la force de cette ville à la fois brutale et poignante.
Du haut de son atelier, perché entre l’étang de Thau et la Grande bleue, l’artiste dessine, compose et peint tant au fusain qu’à l’encre de Chine et à l’huile. Après avoir longtemps privilégié le motif du corps, il s’oriente du côté de « paysages mentalisés » offrant une (in)humanité singulière. Ainsi, à mi-chemin entre figuration et « abstraction onirique », Antoine Dubruel entraîne l’oeil du spectateur dans un univers puissant où la lumière, la matière et l’équilibre en sont les clés de voûte.
On le surnomme aussi Papaploo puisque « géniteur » des personnages, les « PLOO », avec lesquels il travaille principalement en peinture et en volume. Personnages minimalistes en survie dans un univers violent et dégradé par les humains, symbolisé par des textures brutes. Ses petits cyclopes se portent comme des témoins qui endurent la société actuelle en gardant des rêves utopiques de retour à l’humanité, avec leur logo / emblème souriant. Ils mènent à leurs niveaux, une petite guerre contre certains humains. Attention à vous pour ne pas subir leurs châtiments ! Tenez vous bien !
Aérien est aussi photographe catégorisé « alternatif », avec son studio photo, le « FOG Studio ». Des lumières cinématographiques, pleine de fumée, des images irritantes et dérangeantes avec ses bizarreries corporelles, ses mises en scène façon films d’horreur, ses ambiances sombres et ses allusions à l’univers médical. Des expériences visuelles qui font réfléchir sur les conditions humaines, les vices, les fragilités, les traumatismes, les différences corporelles…
Avant la fin de ses études à l’école des Beaux-Arts de Mexico, elle travaille et se spécialise dans la technique de peinture japonaise traditionnelle. Ensuite, elle part quelques années en Amérique centrale pour découvrir d’autres techniques indigènes de céramique et de poterie.
Elle poursuit sa formation sur les techniques anciennes en Europe, à Berlin durant cinq années, par la suite de s’installer dans le sud de la France.
Depuis son atelier de Fontès dans l’Hérault, Martha Arango expérimente la sculpture en utilisant divers matériaux naturels et recyclés, en particulier le papier et le carton.
Elle laisse remonter à la surface ses thèmes préférés : la nature, l’environnement, la spiritualité de l’homme.
Fondatrice de l’association Layanan, elle travaille pour une sensibilisation et une approche à l’art et l’environnement naturel.
Après une expérience de retour à la nature sur une île des Canaries, Guët travaille dans le théâtre comme technicien plateau, lumière et son pendant près de vingt ans. Cette période lui permet de commencer à pratiquer les arts plastiques, en particulier l’art cinétique, puis en fait sa profession. Le voici constructeur de machines improbables, délirantes, sans utilité aucune… Il anime depuis la fin des années 90 des ateliers en milieux scolaire, hospitalier, ou carcéral, ainsi que pour la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ). Artiste autodidacte, il se présente lui même comme un inventeur poético-ludique de sculptures cinétiques aux énergies douces… Il est cofondateur de la fameuse Grande barge, et son directeur artistique de 1998 à 2005. Musicien dans l’âme, il aime à beuffer à la moindre occasion… Contact Mail guetounet@yahoo.fr
Blu canari – créations autour du papier – atelier/boutique/galerie d’art
Blucanari est une créature à deux têtes. Laura-Jeanne Sauthier et Tudal Marhic : deux parcours, deux histoires, deux univers distincts, se jetant des ponts et se liant dans un semblant de cohérence…
Installé à Pézenas, ville des métiers d’Art, Blucanari est un Atelier / Boutique / Galerie d’Art.
Nos créations viennent exclusivement de notre atelier, nous sommes à ce titre estampillé depuis avril 2014 du prestigieux label « Atelier d’Art de France ».
Tudal dessine, peint, grave, illustre et design tout ce qu’il peut. Avec ses doigts, ses pinceaux, ses gouges, sa tablette graphique… Formé à l’illustration traditionnelle à l’École Supérieure Estienne à Paris, il s’occupe de l’illustration et de l’impression artisanale (gravure, polymère, sérigraphie, etc). Les visuels créés sont imprimés sur une presse manuelle, avec de magnifiques encres à l’huile sur du papier d’Art 300g à 600g venant du monde entier. Les tirages sont exposés en séries limitées, ou sont utilisés pour couvrir carnets et créations en volume.
Laura-Jeanne écrit, dessine, assemble, coud, déchire, recycle tout ce qui lui passe par la main. Avec sa plume, ses mains, son scalpel, son plioir… Formée à la reliure d’art à Tolbiac à Paris, elle conçoit aussi les carnets et la papeterie artisanale, met en scène le papier, le cuir et le tissu, avec élégance et poésie. Elle est aussi l’auteur de nombreux textes originaux présents dans nos créations.
Contact LJS // Atelier Blucanari Atelier : 1 et 3 rue du four de la ville – 34120 Pézenas Tel 0619576518 Mail contact@blucanari.com
“Mon envol pour la sculpture débute en 2006, lors d’une exposition de raku à l’abbaye de Montbazin dans l’Hérault.
Très vite, j’apprends les diverses techniques de modelage, de patine et de cuisson dans un atelier à Sète, tout en m’intéressant en même temps au modèle vivant.
Je me régale d’utiliser la terre de grès chamottée de toutes grosseurs, cuite à haute température, que je patine selon mon ressenti. J’aime sculpter la femme dans tous les sens, celle qui regarde le monde et se relève toujours. J’aime réaliser avec la terre ce qui me transporte, m’apaise. C’est une vision unique que de transformer une petite boule de terre en se laissant porter dans un tournis de sentiments de la vie.”
Né en 1985 et vivant à Montpellier, Cahuate Milk est un photographe plasticien vidéaste autodidacte.
Il côtoie depuis plusieurs années le milieu du spectacle vivant dont il est proche et met aujourd’hui ses créations au service des groupes de musique et des compagnies de théâtre.
Son travail photographique explore l’humain dans son questionnement et sa complexité. Mêlant sobre réalité et onirisme personnel, son travail se veut épuré et accessible.
Il travaille au sein de l’atelier A LA BARAK en centre-ville de Montpellier où il s’occupe également de la programmation de l’espace galerie.
Co-fondateur de la Galerie éphémère à Villeneuve-lès-Maguelone, il s’implique dans la promotion des artistes locaux ou émergents (photographie, dessin, street art, collage…).
Résolument tourné vers un univers graphique inspiré de l’univers street, il transpose ses œuvres sur des supports aux formats variés physiques et numériques : jouets, skateboards, vêtements, corps humain, art du papertoy…
Jip Hey construit son style autour de ses passions, le ride, les jouets, le graffity, le cinéma, le tatouage. Et participe souvent à des créations collectives avec photographes, illustrateurs ou plasticiens.
Des couleurs lumineuses, des laques monochromes, des situations étranges, des fleurs imaginaires, des hommes au travail, des linogravures… Le talent de Christophe Cosentino s’affirme par la diversité et la richesse de ses créations.
Il précise depuis quelques années un langage pictural poétique qui lui est propre. En juxtaposant des éclats de céramiques sur ses peintures, il pointe, souligne, éclaire : un détail de fond marin, une paire de chaussures… Le relief change la perspective et ouvre une lecture poétique.
Il nous offre des portraits, voire des gueules en noir et blanc tracés, marqués, tatoués de rêves et d’histoires de la vie… Un regard tourné vers le large mais toujours attentif aux détails, Cosentino révèle, sous forme de parabole picturale, un grand intérêt pour le devenir de l’être humain et capte l’esprit inquiet et tourmenté de notre époque.
Il flirte avec le bizarre et les situations étranges. Vous avez dit étrange ? Comme c’est étrange…
Issu des arts appliqués de Marseille, Jean-louis Crudenaire travaille la vidéo depuis plus de 20 ans en parallèle du graphisme. Artiste auteur de films remarqués dans des festivals internationaux et expositions d’art contemporain, il met également son talent au service de commandes ou de performances live.
Les idées de mondialisation et de rationalisation sont au cœur de ses recherches (voir “JETLAG”, “COL BLANC”, le DVD “NUAGES en compagnie”).
“À la manière des maîtres visionnaires Marc Duran s’est jeté dans la peinture, la grande, celle d’où on ressort ébranlé comme d’un rêve étrange mais familier dont aurait perdu la clef. Bluffée par les premières toiles, la pop galerie monte sa première exposition – deux jours, dans son salon. Le gratin s’y presse… ils vendent tout ! Boosté par cette fantastique révélation Marc Duran s’attèle avec frénésie à la toile, dérouté par sa réelle performance, mais crânement convaincu qu’il est temps de frapper un grand coup et de récolter les fruits de dizaines d’années de dérive autour du monde. Comme un artiste médiumnique du siècle dernier, Marc Duran vient d’avoir une vision, sauf que là tout se joue devant nos yeux et qu’il ne tient qu’à nous d’assister à l’éclosion.” Pascal Saumade
Je suis née à Madrid. Je suis diplômée des Beaux-arts de Rome où j’ai fini mes études. Ma thèse portait sur la synesthésie dans l’art, thème d’investigation qui va jusqu’à nos jours.
Je suis toujours été très influence par le sens de l’odorat, l’odeur de la nature, de la nourriture, les pays, du gens ou bien l’odeur d’un concept abstrait comme l’odeur de la liberté…
En tant que synesthète, j’ai une expérience sensorielle qui mélange les cinq sens. Par exemple, dans un mode synesthésique, les lettres de l’alphabet ou les nombres peuvent être perçus comme colorés. (Le numéro deux est bleu, le trois est rose, etc.) J’utilise la peinture comme un moyen qui me permet de communiquer et partager cette perception particulière du monde. Quand je dis : “Pour moi la mathématique a l’odeur du papier, elle a la couleur orange-rouge et le goût de quelque chose qui ressemble à une tartine de foie gras”. Je décris à travers les sens un concept abstrait.
En parallèle de mon activité artistique, j’ai travaillé entre l’Espagne, l’Italie et la France comme professeure de peinture et dans le domaine du design.
Licenciée avec mention de l’Université de la Sorbonne en 2006, elle poursuit ses études d’architecte et se met à son compte en 2011. La peinture dans la famille c’est une question de gènes, Michel Fourment, son grand père, lui a transmis cette passion des couleurs.
La peinture d’Aurel nous plonge dans une culture hip-hop revisitée, à l’atmosphère unique. Cette artiste qui a tout récemment impressionné par la taille et la qualité de ses fresques murales pour une clientèle russe, s’applique aussi à peindre sur toile, en mixant les techniques.
Huile, acrylique, fusain, pastels, bombes de peinture…
Ses personnages restent énigmatiques et la plupart d’entre eux sont empruntés aux “magankas”. Doit-on y voir un questionnement sur l’insertion du virtuel dans le réel?
Aurel laisse indéniablement de la liberté dans son trait, tout en restant dans la maîtrise. Elle équilibre l’ensemble, passant du figuratif à l’abstrait, patine ses toiles, dose ses couleurs, travaille la matière… Et de tout cela se dégage une intensité graphique et une originalité de traitement qui font sa marque de fabrique.
Jouer des couleurs pour en faire jaillir une véritable soif de vivre, voici tout l’enjeu de ses créations.
Contact Aurélie Fourment 9 rue marx Dormoy – 30250 Sommières Tel 06 26 26 90 81 / 04 34 11 09 66 Mail contact.artsfact@gmail.com www.artsfact.com
Après avoir pratiqué la sculpture de nus académiques en région parisienne, ma rencontre avec une céramiste sétoise a orienté mon travail vers la création de jarres, vases, pots, urnes…
La technique aux colombins est primitive dans l’art de la céramique. Elle fut employée par les civilisations les plus anciennes. Elle me correspond par les formes libres qui en résultent, plus proches de la sculpture, en opposition aux formes parfaitement symétriques des poteries tournées.
Mon inspiration est nourrie par les œuvres archaïques qui me touchent particulièrement, ainsi je me connecte aux civilisations et aux cultures les plus anciennes. L’argile est une matière noble et vivante résultant de l’érosion de la croûte terrestre.
Le grès chamotté est ma matière de prédilection. Il donne un aspect brut et naturel à mes pièces, en particulier le grès noir qui rappelle la pierre basaltique ou pierre de lave utilisée pour les constructions de la cité d’Agde, surnommée «la perle noire de la Méditerranée».
Je crée également des urnes funéraires destinées à accueillir les cendres des êtres humains ainsi que celles des animaux de compagnie. Je les réalise dans un état d’esprit particulier, empreint de respect et d’empathie, en hommage à ces êtres chers disparus. Je travaille également sur commande personnalisée.
Mon atelier-galerie est niché au cœur du centre historique d’Agde, au sein du site des métiers d’art d’Agde. Ainsi je crée et j’expose dans le même espace. Je suis reconnaissante de cette belle opportunité, je me sens soutenue et encouragée dans ma démarche.
Isabelle Granier – artiste peintre décorateur – plasticienne Vous souhaitez transformer votre intérieur, espace sur mesure ? Isabelle Granier le conçoit et le réalise, création unique, selon vos désirs et la spécificité du lieu, en s’adaptant au travers de différents supports : toile (marouflée au mur ou au plafond ou tendue sur châssis), bois, papiers peints à la main (intissés ou toile), verre (pour créer des cloisons murales, double vitrage sur châssis fixe ou amovibles, etc..) et sur mobilier (abats jours, stores, tentures amovibles, meubles, etc…).
Son savoir-faire en trompe l’oeil, fresques, faux-marbres, matières et couleurs l’amènent à travailler autant pour le patrimoine (Musée Fabre, chapelles, communautés de communes, etc..) que pour le particulier.
L’observation sensible de la nature est pour Isabelle Granier une source d’inspiration, intuition poétique intarissable et nécessaire à la création, alliée à son goût pour les anciennes planches naturalistes ou autres décors anciens, tissus, photos (de végétations et oiseaux notamment) font de son travail, selon les commandes, autant de références au patrimoine déjà existant que de créations contemporaines.
Contact Atelier à Grabels sur Rendez-vous (possibilité de stages) T 0667955426 M elisagranier@free.fr Sitewww.isabelle-granier.com
Après un voyage en bateau dans le monde aquatique des îles et de leurs mers lointaines, voyage qui a nourri mon
esprit…
Nourri aussi de lectures et de rencontres avec des personnages de tous horizons, réels ou imaginaires…
…une longue escale sur la terre ferme…
De mon union de corps à esprit avec notre Terre mère, je lui rends un hommage que j’essaie de faire partager.
Pour chaque pièce je tente de créer un univers qui incite au voyage, à la réflexion, à la méditation et suscite une émotion.
Toucher du doigt la matière, jouer de l’esprit
avec la lumière, les formes, les symboles.
Plasticien, voyageur, dans l’espace-temps de mon
imaginaire, je vous invite à la découverte de ma Terre.
Mais aussi…
Exposition permanente de mes créations dans la boutique « Horizons intérieurs », pôle des métiers d’art et du patrimoine vivant du lodévois et Larzac (45 Gd rue 34700 Lodève)
Le projet artistique collectif et participatif cssJPG investit l’espace public en proposant un nouveau regard sur la nature.
Chaque oeuvre, appelée «CSS», est composée par un ensemble de photos prises en milieu naturel (les textures) et assemblées en mosaïque pour créer un tableau pixelisé.
Ces illusions éphémères s’inscrivent en milieu urbain pour être données à la vue et à la portée des passants, les questionner, ou simplement provoquer leurs réactions spontanées.
Ce projet tend à valoriser l’environnement naturel et invite chacun à se questionner sur la nature, la cité et les interactions entre ces habitants. Inscrire une «CSS» dans la rue, c’est créer un espace d’expression.
Le public est ensuite libre de l’interpréter et de lui donner une identité.
Le site web cssjpg.org encourage les commentaires et favorise la libre expression.
Himapan méditerranée – Claire Rosiaux – Plasticienne A mon arrivée en France, après plusieurs années passées en Asie, j’ ai crée HIMAPAN MEDITERRANEE.
Je réalise des tableaux peints sur des feuilles naturelles de lotus séchées.
Ce concept est innovant puisque c’est vous qui déterminez le format (standard, sur-mesure), le nombre de tableaux (individuel, diptyque, triptyque…), les couleurs, la technique (acrylique, Huile extra-fine) et je réalise votre souhait.
C’est en Thaïlande qu’ est produite et récoltée la feuille de lotus et
les toiles sont fabriquées dans nos ateliers de Bangkok.
J’ importe les toiles « lotus » brutes et je les peins dans mon atelier de Castelnau le Lez.
Sylvie Huet / Débit de Beau – plasticienne, illustratrice
Jusqu’en 2010, DDB cherche une explication valable aux lois de la pesanteur. Imperméable au principe de réalité, elle finit par s’en affranchir en créant son propre monde dans des photomontages où le flottement n’est jamais loin du vertige. Elle adopte la technique du collage qui lui permet de mettre en scène ses images intérieures en abusant des effets spéciaux.
La critique est unanime : C’EST FLOU. Et difficile à cadrer. Le public, lui, est conquis… Sensible, poétique, ironique et ludique : cet imagier a priori impossible recèle pourtant bien une expérience partagée.
Née en 1976 à La Rochefoucauld (16), Gaëlle Jovert vit une enfance nomade, emménageant régulièrement dans de nouvelles villes, de nouveaux villages, de nouveaux paysages.
Les illustrations de contes ont modelé son rapport à l’image. Elle était fascinée par leur capacité à matérialiser un monde imaginé.
Cette fascination l’a conduite à intégrer un cursus en arts appliqués à l’industrie dès le lycée. Elle poursuivra jusqu’à l’obtention de sa licence en 1998. Elle débute alors une carrière dans la publicité, explorant d’avantage la puissance de la narration picturale, son aptitude à modifier les comportements, à mobiliser les énergies, jusqu’à rendre réel ce qui n’était que souhait ou hypothèse.
Un après-midi de l’été 2007, elle rencontre La vie de Marc Chagall, à la fondation Maeght. Face à cette vaste peinture, toute tentative de lecture a disparu, cédant la place à une sensation physique de résonance et de dénouement. C’est là l’expérience fondatrice qui guidera sa pratique de la peinture.
Par la suite, les œuvres d’Edward Hopper, Peter Doig ou Olivier Masmonteil l’ont guidée vers une figuration à la fois affranchie et réconciliée avec la narration, faisant la part belle à la sensualité et à l’instinct du peintre comme du spectateur.
C’est en 2010 qu’elle débute sa recherche picturale, fondée sur l’idée d’une peinture impressive, capable d’absorber le spectateur jusqu’à modifier son rapport même au monde.« Il n’y a pas de recouvrement dans mon travail. Ma peinture est transparente, riche et intense de toutes les traces, de toutes les couleurs qui l’ont construite.»
Hippolyte Lafabrie, dit Hippo – artiste peintre, vit et travaille à Béziers.
“Ma peinture et mes collages sont un seul et même langage, peuplé de créatures imaginaires ou réalistes, qui rivalisent souvent avec la matière (carton, bois, toile, crépi, tissu) et tentent de trouver un juste équilibre. Déconstruire pour assembler en compositions variées, j’aime travailler en couches successives la matière. J’élabore au fur et à mesure de mes recherches des peintures-objets, tels des jouets très colorés, qui la plupart du temps s’inspirent de mon journal intime, ou de l’actualité lorsque je souhaite faire passer un message”.
Pascal MAHAUD poursuit une réflexion sur la place de l’être humain dans la société et le monde.
Comment l’être peut-il conserver son humanité essentielle dans la réalité d’aujourd’hui ?
L’être humain, corps-esprit-âme, est pris dans son contexte global. Il est souvent soumis aux plus grandes tensions, pressé, écorché jusqu’à sa dislocation et atteint un précaire équilibre. Pour ne pas succomber il doit se construire et se reconstruire en permanence. Chancelant entre sujet et objet, écrasement et enfermement, l’être humain résiste au quotidien pour sauvegarder sa place. C’est ce précaire équilibre que l’artiste met en scène plastiquement. Ses œuvres mettent en avant la réalité à travers ses sujets en quête d’empreinte identitaire.
Tracer, déchirer, recouvrir tel est la besogne infinie qui donne corps à l’œuvre. Un travail de répétition qui révèle toute l’intensité de celle-ci. Évoluant dans trois qualités d’expression plastique – l’œuvre bidimensionnelle, l’installation, la performance – le style devient un outil pour Pascal MAHAUD. Que la forme soit représentative ou complètement abstraite, c’est une force, une sensation que l’artiste souhaite retranscrire. Chaque œuvre appelle sa matière, sa technique pour servir au mieux la représentation d’une énergie, d’un fragment d’intériorité…
Nathalie Marais – sculpteur – céramiste Au fil de la terre
Après avoir travaillé une dizaine d’années dans l’industrie pharmaceutique comme commerciale, j’ai créé avec mon conjoint une entreprise dans le secteur de la bijouterie où je suis restée onze années. Toujours dans une recherche artistique et véritable « touche-à-tout », j’ai étudié en autodidacte le dessin, la peinture sur des supports aussi variés que le métal, le bois, le verre ou le tissu.
L’approche de la sculpture sur pierre m’a amené au modelage de l’argile. Le contact avec la terre fut alors une révélation. J’aime la force et la fragilité de la terre après cuisson, le jeu des mélanges des émaux, le scintillement des effets obtenus avec les oxydes de cuivre ou le nitrate d’argent. C’est toujours d’une inspiration nouvelle et enchanteresse que je me réalise sur le chemin de la terre. Véritable leçon de modestie et de patience. En effet, le hasard y tient une place essentielle surtout dans le raku où trop de paramètres sont en jeu pour les contrôler tous et où le résultat final est très souvent éloigné de ce que l’on pouvait espérer au départ. J’aime aussi jouer avec les différentes matières tels que les bois flottés, la pierre, le métal et la peinture qui, associés à la céramique, me permettent de réaliser des techniques mixtes, des lampes et des lampadaires et autres objets décoratifs ou utilitaires.
Arthalie Créations apporte dans un état d’esprit zen une touche à la décoration d’intérieur et à l’art de la table. Je réalise aussi des articles de cérémonie de mariage et des urnes funéraires pour adultes et pour animaux domestiques.
Telle une Aventurière du XXIème siècle, Cassandre aime parcourir les chemins, y découvrir des Hommes, des cultures, des philosophies..
Passionnée de musique et d’Art depuis son enfance, elle cherchait depuis longtemps le mode d’expression & le moyen d’échange le plus adapté à son énergie, sa soif de découverte, son envie de partage..
Au fil des années Cassandre est devenue TiKa* & TRiP’TiKa*, la synthèse de ces 36 années de recherche..
Toutes les créations de TiKa* s’inspirent du voyage et de la diversité culturelle pour prendre forme en supports artistiques, esthétiques, ludiques et didactiques tels que jeux, tirages photos, livrets, cartes, bijoux, accessoires en textiles & playlist musicales..
C’est donc une large gamme colorée AtypiK & EthniK dont le « souhait principal est de nourrir les Esprits & la curiosité de chacun au delà des frontières.. ! »
La nouveauté 2015 ?
Une nouvelle gamme textiles cousus 100% au solaire !!
La série a débuté avec de jolies pochettes de Lavandin Bio (à voir sur le site : Créations)
Petit récap :
1er jeu réalisé & fabriqué en Inde : TRiP’TiKa* Inde011 (commercialisé depuis décembre 2012)
Mise en ligne de voyage musical sous forme de playlist éclectiques depuis février 2014
Tirages photos disponibles en 3 formats depuis juin 2014.
Accessoires textiles et bijoux disponibles depuis décembre 2014
Gamme BioEthniKoEco depuis Juin 2015
À venir:
Développement des expositions, ateliers/conférences et animations, auprès d’un large public, autour du jeu TRiP’TiKa*Inde011 et plus largement au travers des musiques et photos du monde afin d’inciter le croisement les cultures et élargir leurs connaissances.
Actualités & points de vente sur la page Facebook Triptika
–>Marchés d’été prévus dans les Hauts Cantons du Languedoc : Bédarieux, Octon.
Rosa Mourlam – artiste-peintre, illustratrice et sculptrice
L’art de Rosa ne se trouve pas derrière un cadre en verre. Il ne se confine pas au plan du mur. Son art est à la fois novateur et reflète l’expression de son histoire, dont les racines s’abreuvent du monde perdu de l’art celte.
Rosa peint, spray et sculpte en connexion avec la Nature. Une partie de ses œuvres a été créée en Afrique et une autre en France. Rosa est originaire d’un petit village de pêcheurs dans l’ouest profond de l’Irlande. Ainsi, son art est perpétuellement bercé par la vie de ces hommes, l’océan, les bateaux ou encore les dieux païens, dans une fantaisie de couleurs à mille lieues de l’ataraxie.
Certaines de ses œuvres dénoncent la dévastation et la destruction inhérente à l’être humain. Les peintures de Rosa ont pour but de provoquer le débat. Ainsi, elle revisite certains canons artistiques en leur apportant un aspect plus actuel. Cela permet à Rosa de s’exprimer politiquement tout en mélangeant les supports et en mixant les médiums. Également artiste scientifique, elle parcourt avec justesse, de la pointe de son crayon, les méandres de la vie et du temps.
S’interroger sur ce qu’est la peinture et ses possibilités m’on conduit à introduire différents matériaux notamment le plastique ouvrant un champ d’expérimentation où j’ai pu nouer un autre rapport à la peinture.
Progressivement mon intérêt s’est porté sur la texture de la peinture et sa surface pour finalement faire l’expérience de la peinture, seule, dévêtue de ses fonctions de représentations en réintroduisant le plastique comme opérateur d’empreinte. Le sujet de la peinture devenant le résultat des actions menées.
Plus tard, j’ai travaillé le collage à l’aide de papier découpées récoltés dans les magasines où j’accordais une grande place au hasard. D’un univers coloré, enfantin, les personnages se sont vus affublés de têtes animalières s’inscrivant dans des mises en scènes aux tonalités plus sombres, étranges dont certaines ont pu devenir un prétexte pour retravailler la peinture figurative. Peu à peu, mon attention s’est portée sur la richesse des noirs et blancs, une série de personnage s’est construit par l’accumulation de petits morceaux, personnages affirmant leur existence par la présence de textes. En parallèle, j’aborde le volume, j’expérimente des matériaux, j’aime déconstruire- reconstruire différemment.
Ce besoin d’être dans la matière, je le partage auprès des plus jeunes dans le cadre de projets scolaires (écoles, classes découvertes, ateliers périscolaires) au sein de l’association En Trait En Matière.
Particulièrement intéressée par la photographie, je me suis formée à l’Université de Provence à Aix-en-Provence, obtenant un Master d’Arts Plastiques Recherches en 2012 et acquis des connaissances dans la prise de vue et le traitement d’images à l’Ecole Supérieure des Métiers Artistiques de Montpellier.
J’aime les images tenaces, celles que nous voyons à la télévision, dans la rue et même celles que l’on imagine. Je partage ce regard méthodique avec les enfants afin de leur faire découvrir le rôle des images, comment elles nous manipulent avec patience. Ces interventions me permettent de redynamiser ma production artistique.
Mais aussi…
Après « L’Art s’archive » présenté aux Archives Départementales des Bouches du Rhône, je suis en train de mettre en place ma future exposition prévue pour le printemps 2015.
Contact Tel : 06 73 61 41 70 Mail : vahinesidem@yahoo.com www.vahinesidem.com
ArtJL se consacre à ses créations et re-créations artistiques. Une touche personnelle, authentique et originale.
ArtJL tend à l’universel, traverse les époques et transcende les modes. Il s’expose, s’importe et se réinvente en permanence.
Son design communiquant laisse place à vos rêves dont vous modifiez l’orientation et l’interprétation.
Ses œuvres laissent entrevoir une sensibilité particulière de liberté et d’imaginaire. Elles répondent aux critères de l’intérêt esthétique intemporel laissant peu de place à la rationalité au profit de la rêverie.
Deux thématiques chez ArtJL
L’Upcycling :
« Redonner une seconde vie à la matière est une philosophie. Pourquoi jeter alors que nous pouvons transformer ?
Il n’y a pas de perte… Il y a de la création et de la re-création. »
Un éclairage ArtJL changera vos ambiances, il sublimera vos intérieurs. La Calligraphie Contemporaine et 3D :
« Les jeux de lumières et de reliefs rendent les toiles dynamiques. Un nouvel angle de vue nous fait redécouvrir l’œuvre. »
ArtJL développe sa propre calligraphie contemporaine avec un effet 3D. Des lignes pures pour une représentation graphique élégante.
« Un univers relaxant, apaisant et inspiré où l’élégance se mélange à l’esprit. »
ArtJL retranscrit sur ses toiles son monde insolite où les couleurs monochromes, les traits et les symboles en décuplent le charme. L’artiste libère l’interprétation qui surprend autant qu’elle fascine.
Contact
Tel 06 82 05 51 98 Mail contact@artjl.fr Site www.artjl.fr FB Art jl (https://www.facebook.com/art.jl.37?pnref=story) Instagram art_jl
Dès son plus jeune âge, Sébastien PICARD est attiré par les couleurs et les jeux de lumière; rapidement c’est le mouvement et la matière qui vont l’obséder. Après des études secondaires d’Arts plastiques et les Beaux-arts de Dijon, il va chercher sa voie et le support de sa véritable expression à travers les différentes techniques: peinture à l’huile, acrylique, aquarelle, pastel, encre, fusain et sculpture. Ses maitres seront MONET, COMBAS et SOULAGES. Sebastien décide de s’installer dans le sud de la France, région qu’il affectionne tout particulièrement; sa peinture porte la marque de sa propre personnalité et des couleurs méditerranéennes. “En recherche perpétuelle du mouvement idéal, j’aspire à capter la lumière par la transparence de la matière picturale qui, gourmande, colorée et contemporaine, transporte les sens dans un songe rêveur, spirituel et infini.”
Contact Tel 06 95 738 738 Mail sebastienpicard34@gmail.com
Mon atelier, basé temporairement dans la commune de Sainte-Croix-de-Quintillargues dans l’Hérault, est dédié à la conservation-restauration d’œuvres peintes.
Ma spécialité est le traitement de peintures sur toile.
Je prends aussi en charge des œuvres exécutées sur supports bois ou carton. J’exerce et partage mon savoir-faire depuis 2008 en collaboration ou toute autonomie sur des œuvres appartenant à une clientèle diverse. Forte d’une expérience en France et en Irlande, dans des musées ou ateliers privés, je maîtrise les différents aspects du métier.
Je réalise aussi des interventions sur cadre ainsi que des copies sur commande d’après photographies ou reproductions.
J’ai suivi le cursus diplômant de l’atelier-école de restauration de tableaux (ATEC) en quatre ans (2004-2008).
Informations sur les tableaux présentés
– Christ en croix (XIXe) : artiste anonyme, 200 x 135 cm, conservé dans l’église de Lahitte (32)
– Détail d’un cadre en bois doré XIXe, National Gallery of Ireland
– Donation du Rosaire à Saint-Dominique (XVIIe) : artiste anonyme, 251 x 172 cm, conservé dans la paroisse Notre-Dame-de-Bon-Repos (84)
– Détail de la Donation du Rosaire à Saint-Dominique
– Travail en cours, sur le revers du Marriage of Strongbow and Aoife (1854) : Daniel Maclise,315 x 513 cm, National Gallery of Ireland
– Copie des Danseuses Bleues d’Edgar Degas, original (v.1898) : pastel de 65 x 65 cm conservé au Musée Pouchkine de Moscou. Copie : pastel de 14,5 x 14,5 cm
Né à Angers. On trouve l’atelier dans un faubourg montpelliérain, ses murs martelés par les météores poétiques du gang d’écrivains et d’interprètes voisins, une des grandes portes rouges entrouverte sur la rue limpide. Pas d’écoles d’arts, un style construit par les strates d’expériences, émotions, techniques, études, souffles avec les hommes, femmes et matériaux de ces moments.
En découlent des traces, influences et une sensibilité : la lucidité de Schiele, de Dubuffet ou de Pignon-Ernest – la littérature et ses genres ; l’icône – byzantine autant qu’africaine et chicano tant qu’elle n’est pas un cliché marchand ; le trait et le noir – de l’estampe, de la bande-dessinée autant que du cinéma ; la considération naturelle des matières humbles à portée de main – leur beauté révélée un temps par le Nouveau-Réalisme ; la rue rurale, la rue de ville – ceux qui l’habitent, la dansent ; Le travail singulier des épaisseurs d’affiches synthétise ces tendances.
L’arrachage et le « lacérage » d’affiches permettent de nous lire à travers ces accumulations d’écrits, de symboles, de sens et de couleurs qu’on cueille à même les murs. Les accidents, les trous et les déchirures constituent l’alphabet aléatoire et poétique nécessaire. La peinture, le dessin, une pulsion naturelle et un nœud où tous les regards se rencontrent.
“Ma recherche et mon parcours atypique génèrent des dialogues entre la danse, la musique, l’écriture, l’art plastique mais aussi la poésie, le théâtre, le chant, la vidéo pour créer des œuvres transversales, développant des formes ouvertes.
Je questionne le spectateur tout en lui laissant la liberté du ressenti, basé sur l’apport d’images poétiques et métaphoriques, je l’invite à stimuler en permanence son souvenir, libérer son imagination, sa pensée. Ce qui est important c’est l’émotion, l’émotion corporelle, spatiale délivrée à partir d’un language élaborée, poétique, sensuelle et onirique.
Dans ma transmission lors d’atelier, de stage et auprès des interprètes, je recherche les possibilités que chacun puise dans son être et développe sa fibre artistique et culturelle.”
Mes investigations plastiques explorent les différentes formes de construction dans ses dimensions géographiques et paysagères, architecturales et culturelles. Pour cela, je mêle deux médiums, la photographie et la sculpture, dans des installations ; comme je les isole en photographiant des lieux plus comme un sculpteur qu’un photographe. À travers des intrigues architecturales et paysagères, cette relation met en tension la question de l’image comme sculpture.
Mes installations œuvrent par un travail de l’espace entre présence et absence, construction et inachèvement, interne et externe. Accompagné ou pas, avec la sculpture je me livre à une anthropologie qui feindrait l’archéologie. La photographie, devient une fenêtre à regarder sur un monde extérieur où l’image persiste au-delà de l’événement. Un rapport entre ce qui apparaît, ce qui disparaît, ce qu’il y a eu et ce qu’il reste ; avec la ruine comme pont mémoriel entre hier et aujourd’hui.
Mais aussi..
Éléna Salah est née à Montreuil, à côté de Paris. C’est à Nantes, où elle est diplômée des Beaux Arts en 2010, qu’elle met en place sa pratique de l’installation en questionnant la sculpture à travers l’image photographique. Sa relation à la sculpture lui permet d’intégrer la HEAD de Genève en Suisse où elle pratique la céramique grâce à la formation CERCCO. C’est par le déplacement et le voyage qu’Éléna Salah nourrit ses installations d’intrigues architecturales. Elle s’investit, aujourd’hui, sur Sète en tant qu’artiste plasticienne, artiste intervenante et pédagogique.
« Mon travail interroge la présence immédiate et poétique de la réalité plutôt que sa représentation. Chaque tableau tente d’être un lien, une passerelle, un fil ténu entre monde sensible et immatériel, dans la recherche d’une résonance entre substances vivante/organique, ou inerte/minérale, qui nous entourent, nous relient et nous composent… .»
Passionnée depuis toujours par le travail des matières et des volumes, le rapport spatial vide/plein, Mā Thévenin a étudié puis travaillé comme architecte à Lille, La Corogne et Montpellier de 91 à 2007.
Ses recherches personnelles autours du corps et de sa relation à l’espace (au travers de la danse, la philosophie, l’art contemporain) orientent son parcours vers les pratiques artistiques. A partir de 2007 elle expose des tableaux/matières et des installations land art, et réalise des performances de danse butō, à Montpellier, Barcelone, et dans le sud de la France.
“Ma peinture reflète mes origines mexicaines : couleurs, avec de forts contrastes, grands espaces ensoleillés, paysages imposants et personnages qui m’ont accompagnés.
Chaque peinture raconte un bout de mon histoire, avec mes voyages, mes doutes et mes certitudes, mes peines et mes joies. Avec les lignes et les traits je délie les confusions qui surgissent à chaque instant et qui peu à peu m’aident à mieux comprendre mon chemin. Pendant que je peins je n’ai pas de doutes, c’est un grand cadeau pour moi. Peu importe le résultat : j’apprends dans chaque tableau des choses importantes que j’essaie de partager.
Je travaille avec des couleurs fortes et contrastées, des traits spontanés, instinctifs, sans esquisses et dessins préparatifs. Ma peinture m’apparaît telle que vous la voyez. Elle est le résultat d’une sensation primaire sans recherche, sans explication, avec très peu de correction ou modification : le résultat de l’expression d’un moment qui ne se répète pas.”
Après avoir exercé dans le secteur de la formation, je me suis décidée, il y a quelques années, de retrouver ma première vocation, la création artistique. Aujourd’hui nos mains sont plus habituées à cliquer qu’à fabriquer. Nous ne manipulons plus la matière, nous l’utilisons prête à l’emploi. Et pourtant nous avons tous en nous le besoin profond de créer de nos propres mains des objets qui nous ressemblent et qui nous rassemblent. Et si nos mains redevenaient actives et créatives…
L’objectif des Z’animateliers est de permettre à chacun, quel que soit son âge et son parcours personnel, de trouver ou de retrouver le plaisir de créer. Pour ceux que cela intéresse…
Mes ateliers sont notamment présents ici :
Centres culturels : Jacques Prévert Bagneux, Simon Lefranc Paris 4e, Espace Beaujon Paris 8e
Salon Planète Timbre (Parc Floral de Vincennes)
Festival des cultures et littératures de l’imaginaire (Bagneux)
Bibliothèque de Sèvres, bibliothèques de Marseille : Bonneveine, Le Merlan, Cinq Avenues, Saint-André
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